The reasons gay men seek out gay travel destinations has been well established in the literature. Beyond the investigation of gay bars, this chapter contributes to the growing sociological literature exploring the multifaceted, unstable, and ephemeral nature of place and place-making in the postmodern city. Instead, gay bars increasingly constitute a collection of places within the same space, which may shift depending on its use by patrons occupying the space at any given moment. Attending to how LGBTQ sub-cultures might appropriate designated spaces within a gay venue to support community (nightlife complexes), how management and LGBT subcultures temporally circumscribe subcultural practices and traditions to create fleeting, but recurring places (episodic places), and how patrons might disrupt an existing production of place by imposing practices associated with a discrepant LGBTQ subculture(place ruptures), this chapter challenges the notion of "the gay bar" as a singular place catering to a specific subculture. As gentrification and social acceptance accelerate the closures of LGBTQ-specific bars and nightclubs worldwide, venues that once served a specific LGBTQ subculture (i.e., leather bars) expand their offerings to incorporate displaced LGBTQ subcultures. This chapter draws on 10 years of ethnographic fieldwork collected in gay bars from three American cities to explore the strategies LGBTQ subcultures deploy to recreate meaningful places within the vestiges of local queer night-life.
s par les spécialistes du genre puis reçu.s est proposée pour comprendre comment concepts et pratiques genré.Enfin, une analyse à l'échelle des actrices et acteurs individuel Il interroge les facteurs de la montée en puissance contemporaine de ces idées et approches égalitaires : les contextes politiques et culturels des organisations où le sujet s'infuse la féminisation professionnelle et le rôle d'une masse critique de personnes concernées (femmes, minorités LGBTIQ, féministes) la légitimation d'expert Utilisant l'arrivée des approches explicitement genrées comme révélatrice de normes jusqu'alors tacites, elle remet en question la "nouveauté" du lien entre genre et urbanisme et ce que sa légitimation actuelle révèle de l'urbanisme français et remet en question.Montrant que l'urbanisme est toujours genré, ce travail explore l'amnésie collective entretenue autour de l'héritage théorique et pratique féministe en urbanisme, remontant au moins jusqu'aux années 1970. s au sujet.Par une démarche de recherche-action féministe constructiviste mêlant travail d'archives et observations de réseaux spécialisés ainsi que de projets à Paris et Villiers-le-Bel, cette thèse analyse l'évolution des pensées, normes et pratiques genrées, ou régimes de genre, des milieux de l'urbanisme.
Des pratiques et concepts féministes se diffusent auprès de professionnel
Depuis les années 2010, les projets d'urbanisme français intégrant les enjeux d'inégalités de genre se multiplient, touchant principalement les espaces publics et la rénovation urbaine.